Titre
pourri, mais ça rime, et moi j’aime bien quand ça rime…
Ces 2
magazines n’ont absolument rien à voir, si ce n’est qu’ils
sont hyper cool. Si vous ne les connaissez pas, courez immédiatement
les acheter chez votre marchand de journaux (sur l’avenue de
Clichy, entre la rue Clairaut et la rue des moines, le mec du kiosque
est fan de Claude, donc je vous recommande de venir ici, ça vaut le
coup même si vous habitez à l’autre bout de Paris).
Ce magazine, je l’ai découvert sur le salon du livre de Montreuil.
Leur poster d’un mec à moustache sous lequel on pouvait lire cet
adage qu’on se répète trop peu souvent :
Quand on lit Georges
On devient fort
(si on fait des altères en même temps)
On devient fort
(si on fait des altères en même temps)
m’a
tout de suite attiré, du fait du graphisme et de l’humour décalé
(il trône désormais dans nos toilettes, je suis pas peu fière de
le montrer à toute nouvelle personne visitant notre appartement).
Quand ensuite, j’ai vu que les numéros (1, 2, 3, 4…) avaient été
remplacés par des pictos, j’ai dit Banco, j’ai acheté le numéro
Moustache, le numéro Trompette et je me suis abonnée pour un an.
Passons
maintenant au magazine Fricote ! Malgré son nom, il n’est pas
question de se frotter en tricotant, ou d’avoir des relations
sexuelles avec quelqu’un (définition de la forme intransitive du
verbe « fricoter »).
Non, dans ce magazine très
graphique, il est bel et bien question de CUISINE (parce que
« fricoter », dans sa forme transitive directe, ça veut
dire « préparer en ragout »). Pauline, continue ta
lecture, il n’y a pas que des recettes, non non non, ce magazine
est aussi pour toi (et pour moi) qui ne cuisines pas, car tu y
trouveras des adresses de restos bobos comme on les aime (comme un
camion à hamburgers ), des astuces pour donner l’impression
d’avoir cuisiné un truc de fou (alors qu’en fait, ça sera
François, pour toi comme pour moi), des photos qui font saliver
(enfin ça, c’est un peu chiant, parce que nous, on arrivera jamais
à préparer des trucs pareils) et surtout, surtout, des ustensiles
de toutes les couleurs trop design qui feront une déco de ouf dans
la cuisine (et qui feront croire à ceux qu’on n’a pas encore
invités à diner qu’on touche not’bille question cuisine). Bref,
ce magazine, il est d’utilité publique !
Ouai il est trop bien le Georges. Pour l'autre que je ne connais pas, j'attends que tu m'invites à diner pour mieux juger !
RépondreSupprimerJ'ai lu hier dans le dernier Fricote des recettes de ouf, je (François) te les fais quand tu veux !
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