27 mars 2012

Georges et Fricote : 2 magazines qui dépotent !


Titre pourri, mais ça rime, et moi j’aime bien quand ça rime…






 

Ces 2 magazines n’ont absolument rien à voir, si ce n’est qu’ils sont hyper cool. Si vous ne les connaissez pas, courez immédiatement les acheter chez votre marchand de journaux (sur l’avenue de Clichy, entre la rue Clairaut et la rue des moines, le mec du kiosque est fan de Claude, donc je vous recommande de venir ici, ça vaut le coup même si vous habitez à l’autre bout de Paris).


Commençons avec le magazine Georges ! C’est, normalement, un magazine pour les enfants, mais comme beaucoup d’ouvrages destinés aux enfants en ce moment, il est tout aussi génial pour les adultes. La preuve, c’est que je n’ai pas d’enfants, que je suis abonnée quand même, et que je me poile à chaque fois que je le lis (bon, vous me direz que, vu que je me marre comme une baleine juste quand François imite Carlos chantant Big Bisous, mon humour n’est pas forcément une valeur sure, surtout en cette période de crise…). 
Ce magazine, je l’ai découvert sur le salon du livre de Montreuil. Leur poster d’un mec à moustache sous lequel on pouvait lire cet adage qu’on se répète trop peu souvent : 



Quand on lit Georges
On devient fort
(si on fait des altères en même temps)


m’a tout de suite attiré, du fait du graphisme et de l’humour décalé (il trône désormais dans nos toilettes, je suis pas peu fière de le montrer à toute nouvelle personne visitant notre appartement). Quand ensuite, j’ai vu que les numéros (1, 2, 3, 4…) avaient été remplacés par des pictos, j’ai dit Banco, j’ai acheté le numéro Moustache, le numéro Trompette et je me suis abonnée pour un an. 



A l’intérieur de ce petit magazine (à peine plus grand qu’un ELLE petit format), on trouve des petites BD très amusantes, suivies d’une interview décalée de l’acteur principal de la BD, des jeux (parfois, ça fait du bien de faire des jeux faciles, quand les mots croisés de Libé t’ont plombé le moral), des infos marrantes sur des pays fort fort lointains (comme le Canada ou le Portugal…). Bref, ce magazine, c’est blague sur blague !




Passons maintenant au magazine Fricote ! Malgré son nom, il n’est pas question de se frotter en tricotant, ou d’avoir des relations sexuelles avec quelqu’un (définition de la forme intransitive du verbe « fricoter »). 

Non, dans ce magazine très graphique, il est bel et bien question de CUISINE (parce que « fricoter », dans sa forme transitive directe, ça veut dire « préparer en ragout »). Pauline, continue ta lecture, il n’y a pas que des recettes, non non non, ce magazine est aussi pour toi (et pour moi) qui ne cuisines pas, car tu y trouveras des adresses de restos bobos comme on les aime (comme un camion à hamburgers ), des astuces pour donner l’impression d’avoir cuisiné un truc de fou (alors qu’en fait, ça sera François, pour toi comme pour moi), des photos qui font saliver (enfin ça, c’est un peu chiant, parce que nous, on arrivera jamais à préparer des trucs pareils) et surtout, surtout, des ustensiles de toutes les couleurs trop design qui feront une déco de ouf dans la cuisine (et qui feront croire à ceux qu’on n’a pas encore invités à diner qu’on touche not’bille question cuisine). Bref, ce magazine, il est d’utilité publique !

2 commentaires:

  1. Ouai il est trop bien le Georges. Pour l'autre que je ne connais pas, j'attends que tu m'invites à diner pour mieux juger !

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  2. J'ai lu hier dans le dernier Fricote des recettes de ouf, je (François) te les fais quand tu veux !

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